Durant le premier semi-confinement en raison de la covid, Carla a ressenti une certaine anxiété. Celle-ci était exacerbée par les médias et les réseaux sociaux. Dès lors, elle a appliqué à la lettre les méthodes apprises durant son rétablissement : « M’écouter, me respecter et rester attentive à ce qui se passe en moi », développe la jeune femme membre du comité de l’association genevoise ATB&D (http://association-atb.org). Elle poursuit : «Dès lors, j’ai pu vivre assez sereinement ces deux semi-confinements, car tant que la tête va, tout va!». Quinze ans d’un travail sur elle qui lui permet de garder une stabilité mentale alors que bien des personnes qui ne sont pas considérées comme « fragiles » psychiquement ont des difficultés à gérer cette pandémie.